Ren Yswan^^

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/\ Votre personnage /\

Nom : Yswan
Prénom : Ren
Age : En apparence 43ans.
Don ou Pouvoir : Voler.( possède une paire d'ailes )
Son histoire :( Au moins 10 lignes )
Regarder plus haut, toujours plus haut, encore, les oiseaux n'apparaissent pas au sol, ceux qu'on observe volent, ceux que j'observais avec mon père volaient.
Si haut, toujours plus haut, ça en devenait même pas croyable, à l'époque. Quand déjà ? Il y a un millénaire ? Non, ce n'était pas possible, mais je sais que ça fait plusieurs années, vraiment trop d'années.
Ma mère ? Morte le jour où je suis venu au monde, morte en me donnant la vie, les choses sont injustes, parfois. Non tout le temps.
Le monde est cruel. Je ne suis rien. Rectification, je n'étais rien.
Un gosse pleins de rêve à qui on a coupé les ailes beaucoup trop tôt.
Je vivais pour les oiseaux, par ce que mon père vivait pour eux, pale copie de quelqu'un qui existait déjà avant moi, ma vie était un chaos organisé. Je m'en sortais, je crois, c'est tellement loin, que parfois, je l'avoue mes souvenirs se voilent, mais on dit que les souvenir qui s'effacent ne sont pas si important, finalement.
C'était un jour d'été, ou d'hiver, automne peut être ? Ça n'a aucune importance quel jours c'est arrivé, l'importance est que ce soit arrivé. La douleur était telle que j'aurais préféré en mourir, je voulais en mourir, achever tant de souffrances, arrêter ce phénomène que je ne contrôlais pas. Je voulais que cela cesse enfin. Ça a pris trois mois. Trois longs mois pour qu'enfin elles atteignent leurs tailles "adultes" si on peut dire. Mon père me croyais fou, j'aurais été a sa place, j'aurais surement ressentie la même chose, comment un père doit il réagir lorsqu'un jour il se réveille et voit son fils aussi transformé ? Soit on devient fou, soit on prend son fils pour un fou, lui il avait choisit la deuxième solution. Il m'a donc enfermé, enfermé pour jamais je ne vois le monde. Cruel ? Oui, mais je savais qu'au fond, il avait raison, à l'époque.
J'ai vécu, ou survécu, peut importe, je suis rester dans cette chambre close jusqu'à mes 25 ans. Le jour où je suis partie, mon père venait de faire rentrer une nouvelle femme dans sa vie. Une nouvelle passion, bien sur, vu qu'après ma transformation, il n'aimait plus les oiseaux. Je comprenais, à l'époque, je savais que je devais m'éclipser, pour son bien, et le mien.
Je suis donc partie, j'ai pris mon envol, et c'est bien le cas de le dire, mon premier vol, et le meilleur de tous, il avait un gout de liberté, un gout de renouveau, un gout de... Vie. La meilleure sensation qu'on puisse trouver au monde se renfermait dans mes battements d'ailes. Les années ont filés sans que je m'en aperçoive. J'étais seul, j'étais bien, et puis un soir, d'été là j'en suis presque sur, j'ai été poussé, par mon instinct à retourner dans mon village natal. Pourquoi ? Les animaux ont des instincts des sens que les hommes n'ont pas, et moi, en mi-aigle mi-humain, je les avais. Et mon sens de la protection c'était animé, il fallait que je le vois... Une dernière fois.
Mon père. Sur son lit de mort. Me suppliant de le pardonner. Ce que j'aurais dû faire, mais à l'époque j'étais un homme en rage, et je l'ai laissé mourir, sans bouger une seule plume. Cruel ? Oui, mais je savais qu'au fond j'avais tord. Je l'avoue, je m'en veux, c'était mon père après tout. Sa partenaire de vie ? Une femme spéciale, elle m'a regardé, je m'en rappelle comme si j'étais un ange, venu pour la sauver.
Une chose est sure, elle savait ce à quoi j'étais destiné. C'est elle qui me l'a dit, la chose que j'aurais voulu ignorer. Le secret sur la mort d'un immortel surhumain.
Mais je n'ai pas compris, pourquoi me disait elle cela ? Alors que j'étais un simple mortel ? Mais j'ai écouté, attentivement ce que la femme disait.
Et j'ai exhaussé le vœux qu'elle m'avait fait. La tuer. Mon seul et unique meurtre. Mais mourir d'amour n'est ce pas la plus belle des morts ?
Elle avait eu le courage de mourir pour mon père. Alors que ce dernier avait survécu a ma mère.
Cette nuit, j'ai filé, j'ai volé, plein de remords et de regrets, j'allais droit, coupant les nuages sur mon passage, il me fallait aller loin, une ile, cette ile, son ile.
Sybille. Et c'est ce jour là, a 43 ans, que la vie à commencé. J'ai bu l'eau, je suis immortel. J'ai embrassé Sybille, nous sommes lié à vie.
Aussi différents l'un de l'autre, je ne peux, et elle ne peux se passer de moi.
A présent ? Mon cœur est brisé encore une fois, trahison de mon fils Elliot pour une de celle au sang froid.
Nous savions très bien que nous partagions notre habitats avec un peuple qui différait du notre. Mais nous n'aurions jamais pensé que ceux là... Transformeraient l'un de nous.
Son caractère : ( Au moins 10 lignes aussi )
Même si je parait fort, de toute façon je me dois de paraitre fort, j'ai une famille a diriger, que je dirige tant bien que mal, les fantômes de mon passé me hantent, tout les jours, chaque heures, chaque minutes, et pourtant j'ai l'éternité devant moi pour ressasser. Même si je sais comment je pourrais mourir. Je ne peux me résigner à partir seul, laisser Sybille, non, je ne le peux.
Je suis un père protecteur, envers tout mes enfants, je l'étais envers Elliot, évidemment, mais il est partie, mort par amour, autant j'avais compris celle de la compagne de mon père, la je ne comprenais pas. Et malgré cette trahison je continue, à espérer, à croire en eux, mes enfants sont tout. Et je sais qu'un jour, je pourrais hurler au monde entier que je suis fière d'eux.
Oui, je l'avoue je suis trop protecteur, je suis calme, en permanence, seule une chose me fait devenir malade... Spellain, je me contente de vous dire cela.
Apparence physique :
Grand, le teint pale, presque blanc, alors que contrairement aux autres, je vis, ma couleur peau se rapproche de la leur, sans vie. Je suis éteins depuis des années déjà.Seule couleur qu'il y a sur moi ? Mes ailes brunes que je cache derrière une cape noire, tout le temps. On ne sait jamais, un humain n'est jamais venu jusqu'ici, mais tout peut arriver.
Mes cheveux sont blonds, presque blancs.
Quand je vous dit que j'aurais pu être l'un d'entre eux.
Même si je ne suis pas dès leur, je suis lié à eux, plus que n'importe quel Yswan, plus qu'Elliot même. J'aurais surement du être l'un d'entre eux. Dans les temps qui courent, tous ne souhaitaient que ça, apprendre le comment.

Relations : Avatar 100/100 Nom et Prénom

Sybille_Les contraires s'attirent ? Qui sait, elle est moi, je suis elle. Ensemble nous ne sommes qu'un. Pour toujours et à jamais.

January_ La vengeance n'est jamais quelque chose de bon, mon fils, crois moi, si tu fouilles dans le château des autres, tu y trouveras des choses bien pires qu'une simple rébellion, laisse la blonde vivre, et calme toi, je sais que tu y arriveras.

Orphée et Enola se sont eux, les créateurs de cette grande famille maudite, je ne souhaite pourtant pas la guerre, mais je ne peux m'empêcher de haïr ce couple, et leur race.